Enfin les photos de la soirée Mafé !

Voici le Mafé (en sénégalais) et le Caldou Mancara (en créole) MIAAAAAM !!

Rambo qui vient mettre l'ambiance, hop hop hop !!

Le petit groupe se regroupe autour des gamelles...

Tino, le peintre (euh... peintre africain quoi!) enfile la robe de Quinta pour être plus beau pour la soirée!

Ca y est, on se régale ! Je passe de groupe en groupe... Le bonheur se joue à peu de choses!

Ils sont tous en train de bien manger. 

Moi aussi je mange bien.... que j'étais heureuse et bien parmi eux !!!

Miguel la bouche pleine !!

Petit et Socé !

Cristina !

Telmo l'espagnol !

Socé

Place au vin de palme et à la sestaferaaa !

Se sont les enfants qui se sont mit à danser en premier! Nathan et Rambo 

Le bidon de 25Litres de vinhio de palmo !

"Alors on danse..."

Nounou qui nous a fait une démo extraordinaire !

Nounou et la vieille dame qui s'est invité... mais comme c'est une femme de Kintino, elle est respecté!

Les hommes sont debout et dansent. Les femmes sont assises. En France, c'est souvent l'inverse non!?

Moi aussi je danse, oui oui oui !!

Quinta !!

Et ça déconne pas! On danse pour de vraie! Plus le temps avance, plus l'ambiance monte!

Voilà, un vrai moment de bonheur. Du début à la fin, j'avais un sourire figé sur mon visage. Je ne pouvais pas ne pas sourire. Je ne pouvais pas faire la gueule, c'étais impossible. Je n'arrivais pas à sortir ce sourire de mon visage. J'étais bloqué dans ce bonheur. Dans ce bien être. Je les avais tous autour de moi. Juste ça. Juste ce qu'il fallait. Ils étaient là pour moi. J'étais là pour eux. Ils criaient, chantaient, chacun dans leur dialecte, chacun dans leur culture, mais il suffisait de simples gestes, de simples regards pour se comprendre. Tout était tellement fort. Aujourd'hui je voudrais serrer dans mes bras toutes ces personnes, une à une. Aujourd'hui, ils me manquent; tous pour ce qu'ils sont.

Ils m'ont aimé pour ce que j'étais. Et n'ont eut aucun préjugés, aucun jugements. Ho oui ils son chiants à toujours demander des sous, des choses, des machins, mais punaise, je n'ai jamais trouvé autant de respect pour autrui que chez eux. Ni autant de partage. 

Je reviendrais...

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